La citation de la semaine # 29

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J’adhère à 100 % à cette citation.

D’ailleurs il y a peu j’ai dit non et les réactions suscitées ont été intéressantes… (ou pas ?!!). En tout cas il y a eu des réactions et moi j’étais fière d’avoir osé exprimer mon opinion, de ne pas être tombée dans le piège du groupe.

J’ai toujours trouvé les gens qui acceptent toutes les propositions et qui sont potes avec tout le monde très étranges, voire dangereux et surtout inintéressants au final. J’aime les gens qui réfléchissent par eux-mêmes, qui ont leurs propres idées et convictions, bref, qui ne sont pas des moutons.

Germanopratin !

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J’aime Paris, je ne vous apprends rien. J’aime le noir et blanc (et pas seulement en photographie). Et j’aime les sacs… ben oui, comme toutes les nanas ! Enfin je crois !

Autant vous dire que ce sac Petite Mendigote (une marque que j’aime beaucoup) à l’effigie d’un joli quartier parisien ne pouvait que me plaire. Saint Germain des Prés est un quartier où je flâne parfois, où j’apprécie de prendre un verre en terrasse, où je scrute les badauds, à la recherche d’une tête connue.

Il s’agit d’un modèle simple, certes, mais avec tout de même une touche d’originalité, les détails zèbre qui font toute la différence ! J’adore !

Ce sac est parfait pour trimbaler toutes mes petites affaires, sa contenance étant plutôt généreuse. Et puis il est léger et se marie avec toutes les tenues ou presque. Ca a du bon la simplicité !

Ma revue ciné de juillet

Le cinéma en été c’est un peu comme les programmes télé… pas très folichon. En juillet j’ai donc fait 3 tentatives pour finalement voir 1 film intéressant.

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J’ai vu Tout de suite maintenant de Pascal Bonitzer. C’est l’histoire d’une jeune femme nouvellement embauchée qui gravit les échelons trop rapidement aux yeux de certains de ses collègues. Elle est la fille d’un homme qui a fréquenté son patron il y a de nombreuses années et dont la rivalité d’autrefois perdure. Il est question ici d’ambition, d’amour et d’histoires de famille, des thèmes qui s’entremêlent et qui puisent leur actualité dans le passé. J’ai eu du mal à entrer dans ce film dont le décor est celui de la haute finance, des bureaux vitrés et froids. Et d’ailleurs je crois que je n’ai pas vraiment compris son propos… Grosse déception…
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J’ai aussi vu L’outsider de Christophe Barratier. C’est l’histoire de Jérôme Kerviel, de ses débuts à la Société Générale jusqu’au moment de la révélation de ses prises de risque insensées pour le compte de la banque. Le film s’attache à montrer la transformation d’un jeune homme banal en monstre une fois placé devant un ordinateur dans une salle des marchés. Jérôme Kerviel fait partie d’une équipe de traders au cynisme froid et on se demande tour à tour s’il est fou, assoiffé de pouvoir ou plutôt manipulé par sa hiérarchie. Le film traduit l’engrenage fatal dans lequel tombe le trader ambitieux qu’on pousse à toujours gagner plus. C’est le seul intérêt que j’ai trouvé à ce film que j’ai globalement trouvé décevant.

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Et pour finir j’ai vu Lea de Marco Tullio Giordana. C’est l’histoire d’une femme qui a grandi dans une famille criminelle de Calabre et qui a eu une fille avec un homme appartenant à la mafia. Une fille à qui elle souhaite offrir une vie normale, loin du crime organisé. Pour cela elle décide de coopérer avec la justice et bénéficie donc du régime de protection des témoins qui implique un changement d’identité et un déménagement. Elle sera malheureusement repérée par le clan, enlevée et assassinée. Sa fille fera tout pour retrouver le corps de sa mère et pour faire juger les assassins, allant jusqu’à témoigner contre son propre père. J’ai aimé cette histoire qui unit 2 femmes fortes (la mère et la fille) face à la peur et à la violence. Ce film sombre, poignant et d’un immense réalisme montre la détermination et le courage de soit-disant victimes qui ont choisi la liberté, au prix de leur vie. Si vous choisissez de voir ce film, optez pour la VO, c’est un vrai plaisir pour les oreilles, même pour qui ne parle pas l’italien !

La citation de la semaine # 28

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Cette citation colle parfaitement à ma façon de voir les choses.

L’ordre c’est ce truc sérieux des adultes qui entrave les envies, qui met du gris plutôt que de la couleur dans nos actes et dans nos coeurs. Le désordre, au contraire, prouve une disposition d’esprit propice à la créativité et au sourire. Il est, à mon sens, la preuve qu’on n’a pas perdu son âme d’enfant.

Si vous me connaissiez, et surtout si vous aviez déjà vu mon chez moi et mon bureau vous sauriez dans quel camp je me situe !

Mes goûts et mes dégoûts

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C’est l’été, il fait beau, il fait chaud (qui a dit qu’il fait trop chaud ??!).

J’ai publié pas mal de billets sérieux, voire plombants ces derniers temps, alors je me suis dit qu’un post plus léger s’imposait.

Aujourd’hui je vous propose donc de découvrir ce que j’aime et ce que je n’aime pas, sur un mode superficiel. Je n’ai mis dans ces lignes que des choses quotidiennes, des futilités, des trucs absolument essentiels pour le coup !

Au rayon de ce que j’aime il y a le goût du citron, recevoir des cartes postales, le tennis, Paris, les cocktails au champagne, ma voiture, l’hiver et la mode qui va avec, les chats, Strasbourg désertée en été, regarder le foot à la télé, les pâtisseries orientales, les jardins botaniques, les salomés, les pique-nique, le décollage en avion, visiter les villes, le chocolat, les films de Claude Chabrol, les expos photo et l’art contemporain, les ascenseurs vitrés, me mesurer à une adversaire sur un court de tennis, les cactus, partager un dessert, le vernis à ongles (mais pas rouge), Jean-Paul Gaultier, la pluie, faire livrer des fleurs, les foulards, les librairies indépendantes, les magnolias en fleur, les moulins à café anciens, les bracelets, les escaliers en colimaçon, le thé, les sucettes.

Et dans la catégorie des choses que je n’aime pas il y a le chou-fleur, le vélo, les chiens, la sensation du coton sur les dents, passer l’aspirateur, les chaussures à bout carré ou pointu, la couleur rouge, les desserts au café et à la pistache, les sacs à main rigides, rester à la campagne plus de 2 jours, Nouvel An, les araignées, le camping, la chaleur au-delà de 25°, les rues bondées, les préservatifs qui glissent, les passages imprévus chez le garagiste, prendre du poids, le gloss, avoir les mains collantes ou grasses, les supermarchés, les appartements neufs, Noël, ranger, les carnets sans ligne, le paiement sans contact, le Nutella.

Et vous, quels sont vos petits goûts et dégoûts du quotidien ?

Un bon dîner avec les cocos !

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Il y a assez peu de restos où je retourne régulièrement. C’est que l’offre strasbourgeoise est large en la matière (et que j’aime les découvertes gustatives !). Mais toute règle a son exception.

Bistrot Coco entre dans ma catégorie des valeurs sûres lorsque je veux passer un moment cosy, découvrir un plat original, profiter d’un service sympathique et ne pas faire pleurer mon porte-monnaie. Oui, rien que ça !

L’autre soir on était 5 et tout le monde a apprécié l’ambiance et ce qu’il avait dans son assiette, y compris celui qui a pris le menu carte blanche en 4 plats qui offre des surprises tout au long du repas.

Moi j’ai opté pour le foie gras, chutney de cerises noires et pop corn en entrée (oui, je suis un peu maniaque du foie gras en entrée !). Puis j’ai dégusté un bon saumon Bomlo (qui vient de Norvège, donc) accompagné d’une mousseline et de céleri coupé en tranches fines. Et pour la touche sucrée j’ai craqué pour la glace au basilic accompagné de crème au citron (j’adore le citron !) accompagnée de fines meringues au citron elles aussi. Un pur délice, tant par le goût que par les consistances.

Chez Bistrot Coco les parts sont généreuses, à tel point que le lendemain je n’ai pas eu faim avant midi ce qui fait de cette adresse mon champion de la quantité / qualité / prix de sa catégorie (surtout quand ce n’est pas moi qui paie la note en plus ! Merci Anthony !).

La citation de la semaine # 27

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Je n’ai pas vraiment le coeur à épiloguer aujourd’hui…

Mais je tiens tout de même à publier cette citation pleine de sagesse et d’espoir. Parce qu’il faut garder la positive attitude. Toujours.

Je sais bien que des jours meilleurs vont arriver, je sais aussi que je dois y mettre du mien car son propre bonheur dépend (souvent) de soi-même.

Le(s) deuil(s)

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Je suis en deuil. Certaines personnes de mon entourage le disent et ont l’air de savoir de quoi elles parlent, elles… Car moi j’ai beau avoir perdu deux êtres chers tout récemment je ne sais toujours pas précisément définir cet état ou cette période qui suit le décès de quelqu’un qu’on n’oubliera jamais.

Suite au décès de mon père je suis passée par plusieurs phases. Le déni tout d’abord, ou l’incompréhension (?). A l’annonce de sa mort je n’ai versé aucune larme, comme si mon cerveau ne pouvait pas intégrer cette nouvelle, comme si la vie allait continuer comme avant. J’ai très souvent pensé à quelque chose que j’allais raconter à Papa alors que de toute évidence il n’est plus là pour m’écouter, me conseiller, me contredire… Et puis quand j’allais rendre visite à ma mère j’allais toujours chez mes parents…

Ensuite est venue la phase de tristesse, celle où le manque est cruellement présent, celle où la réalité du vide laissé est palpable et quasi quotidienne. J’en suis à peu près là en ce moment. Les larmes qui coulent me surprennent parfois, souvent même. Je vois des signes qui me ramènent à mon père partout ou presque. Son image m’obsède. Autant l’image de l’homme sportif et en bonne santé, que celle du malade qu’il était devenu et du mourant à qui j’ai tenu la main presque jusqu’à son dernier souffle. Il m’arrive de ressentir le besoin de me rendre sur la tombe de mon père. Et ces visites me font du bien, elles m’apaisent. Jusqu’à récemment je ne comprenais pas que certains ne puissent pas faire leur deuil en l’absence d’un endroit où aller pour se recueillir, un endroit qui matérialise la mort mais aussi l’amour qui est toujours là, malgré tout. Eh bien maintenant je comprends… et je plains ceux qui n’ont pas la chance de pouvoir faire cette démarche.

Je me demande quelle sera la prochaine étape. Non pas que je sois impatiente de passer par de nouvelles phases émotionnellement intenses (et plutôt difficiles, avouons-le) mais j’ai envie que cette tristesse qui m’accompagne de trop près s’éloigne un peu de moi, j’ai envie de moins pleurer, moins souvent.

Suite au décès de ma grand-mère survenu deux mois après celui de mon père (putain de série…), j’ai traversé la même phase de déni. D’ailleurs c’est là que j’en suis à ce jour… Cette fois je sais donc à quoi m’attendre pour la suite, ou pas d’ailleurs… La prochaine étape sera-t-elle à nouveau de la tristesse ? Ou vais-je directement passer à autre chose ?

Le fait est que faire face à deux décès en très peu de temps est une expérience particulière, remplie de sentiments et de sensations intenses. Les situations s’entrechoquent souvent, se superposent parfois. Et moi je me sens tantôt forte et tantôt faible, lasse ou émotive. J’essaie en tout cas de ne garder de cette période de ma vie que le positif (et c’est un vrai challenge à relever certains jours) et de mesurer la chance que j’ai eue de connaître ces deux magnifiques personnes qui ont chacune à sa manière contribué à ma construction, à mon bonheur et qui n’ont jamais, oh non, jamais baissé les bras malgré les épreuves de la vie, de l’Histoire, de leur(s) histoire(s). Je mesure l’importance de vivre pleinement chaque instant, comme elles l’ont fait, et je les en remercie.

Tout comme je remercie les gentils vivants qui m’accompagnent dans les moments durs. Les gentils vivants que j’appelle mes petites fées du quotidien qui ne se doutent pas un instant à quel point je me nourris de leur beauté intérieure, de leur force, de leurs gestes si simples et pourtant tellement révélateurs de leur humanité. Ils prolongent sans le savoir la ligne tracée par mon père et ma grand-mère, au travers d’un regard (un regard noir par exemple dont Papa avait le secret mais que mon amant maîtrise si bien lui aussi, et de mieux en mieux dernièrement…), d’un mot, d’une attitude, d’une façon d’aborder les choses.

En fait, je crois que c’est ça le deuil pour moi. C’est la vie qui continue, plus belle encore, à la fois pareille et tellement différente de la vie d’avant, forcément plus riche parce que plus vraie, plus sincère, plus profonde. Par respect pour les défunts, bien sûr, mais aussi par respect pour soi, cette bienveillance envers soi-même qu’on oublie trop souvent. Le deuil est en réalité une invitation à devenir meilleur, pour soi et pour les autres.

Un gel douche au parfum impérial

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Après le gommage venu du cercle polaire, voici le gel douche venu de Sibérie !

Natura Siberica est une marque russe haut de gamme de cosmétiques bio qui utilise des herbes et des plantes en provenance de Sibérie et aux propriétés anti-oxydantes exceptionnelles. Ces ingrédients entraient déjà dans la composition des élixirs de beauté et de santé destinés à la famille impériale russe. De nos jours les plantes poussent dans une ferme appartenant à la marque et sont cueillies à la main par des fermiers locaux.

Pour partir à la découverte de cette jolie marque j’ai opté pour un produit simple, un produit du quotidien. Mon choix s’est porté sur le gel douche anti-stress.

Comme tous les produits de la marque, l’huile de pin de Sibérie constitue la base de sa formulation. Cet ingrédient est riche en vitamine E qui a des vertus contre le vieillissement de la peau et en vitamine F qui aide à lutter contre le dessèchement cutané.

Ce gel douche au parfum surprenant (il sent les herbes !) mousse bien et se rince bien. Il laisse la peau douce et nourrie, bien hydratée. Oui, vraiment, il est parfait pour ma peau sèche.

Voilà un produit qui confirme mon goût pour les contrées froides !