Tarte au chocolat

DSCN2866

C’est in extremis que je partage avec vous ma recette du mois de mars !

Pour 8 à 12 personnes il faut : 250 gr de pâte brisée maison ou prête à l’emploi, 350 gr de chocolat noir, 500 ml de crème liquide, 4 gros jaunes d’oeufs.

La marche à suivre :

– préchauffer le four à 180° (th. 6).

– étaler la pâte dans un moule à tarte de 25 cm de diamètre.

– piquer le fond de tarte avec une fourchette.

– enfourner pour 15 minutes de cuisson puis baisser la température du four à 150° (th. 5).

– faire fondre le chocolat avec la crème au bain-marie, dans un saladier placé au-dessus d’une casserole d’eau à peine frémissante.

– transvaser le mélange dans un autre saladier.

– ajouter les jaunes d’oeufs en les battant à l’aide d’un batteur électrique à vitesse rapide.

– verser la préparation sur le fond de tarte.

– enfourner de nouveau pour 40 minutes de cuisson, jusqu’à ce que la garniture ait pris.

– laisser refroidir complètement avant de servir.

J’espère que vous aimez le chocolat parce que ça fait quand même la 3è pâtisserie cacaotée d’affilée que je vous propose depuis le début de l’année ! Je vais essayer de me diversifier un peu au mois d’avril, hein !

Poussettes

26

Les Dernières Nouvelles d’Alsace est le journal le plus lu de la région.

Dans certains quartiers il est encore distribué par des porteurs qui utilisent ces poussettes à journaux aux couleurs de l’Alsace et qui font partie du paysage urbain strasbourgeois.

J’aime le côté rétro de cet objet et l’idée que l’information est portée par une personne jusqu’au domicile du lecteur. C’est pas le luxe, ça ?

# 12 – Gag

1 EMBALLEE !

Eh bien, voilà encore un thème qui ne m’a pas inspirée…

J’avoue avoir pioché dans mes anciennes photos pour vous présenter quelque chose cette semaine.

Pari réussi ? Je ne sais pas… Une chose est sûre, c’est vraiment sans conviction que j’ai sélectionné cette image…

Week end tennis

DSCN2854

Ca y est les ami(e)s, c’est la reprise ! La reprise de quoi ? me direz-vous. Eh bien la reprise de la compét’ ! Cette année encore, comme en 2014, j’ai décidé de participer à quelques tournois de tennis.

Et la saison a démarré de la plus belle des manières, par une victoire ! Oui, absolument !

Samedi je me suis réveillée pleine d’énergie et d’enthousiasme, boostée par les encouragements de mon coach et par le fait qu’il veuille que je lui transmette le résultat de mon match dès la fin de la partie. J’ai essayé de ne pas trop penser à mon match au cours de la journée, tout en me concentrant quand même. Pas facile… ! 16 :30, l’heure de la rencontre était enfin arrivée. J’ai bien observé mon adversaire dès l’échauffement, histoire de mettre la bonne tactique en place d’entrée de jeu. Il était clair que le point faible de Virginie était son revers, coup que je n’ai pas manqué de solliciter le plus souvent possible. Et puis j’ai pu m’exprimer comme j’aime le faire en retour de service, grâce à mon coup droit croisé. Quel bonheur de décider de faire quelque chose et de le réussir !

Après quelques péripéties au premier set (perdu 6-3), je me suis rebellée mais surtout je me suis canalisée et maîtrisée pour m’imposer facilement dans le 2è set (6-1 !). Puis j’ai continué sur cette bonne lancée pour finalement conclure assez aisément (6-3).

Quelle joie, quelle satisfaction, quel plaisir ça a été de gagner ce match, le premier depuis ma reprise du tennis en 2013 et depuis ma reprise de la compétition l’année dernière ! Que de chemin parcouru ! Je suis ravie de récolter les fruits des efforts consentis depuis 2 ans, des conseils engrangés et de cette motivation qui ne m’a jamais quittée depuis juin 2013.

Je dois dire que les félicitations de mon coach, son « On se souvient toujours de sa première fois » (quel coquin ce Stéphane !), ses encouragements pour mon 2è tour (youhou !), tout ça m’a boostée pour retourner sur le court avec le bon état d’esprit dès le lendemain !

Là où j’ai un peu déchanté c’est quand j’ai découvert le nom de mon adversaire du dimanche (Caroline contre qui j’avais joué l’année dernière) et surtout son classement, 3 échelons au-dessus du mien quand même…! La suite de l’histoire est assez prévisible : j’ai perdu en 2 sets (2 sets secs, 6-1 6-1, aïe !) mais j’étais tellement contente de cette expérience que rien n’a pu estomper mon sourire gagné la veille et qui illumine encore mon visage quand je pense ou que je raconte mon week end tennistique à mon entourage.

Cette expérience a été fabuleuse pour la confiance en soi, pour l’apprentissage de la compétition et dès lundi je me suis inscrite à mon prochain tournoi ! Rendez-vous sur les courts début mai. J’ai hâte !

L’anniversaire surprise

DSCN2845

Mon amie Sylvie est née un 16 mars. Et cette année son anniversaire a été organisé par son gentil mari le… 16 !

Ce jour-là, en milieu de matinée, je reçois un sms du style « rendez-vous chez nous ce soir pour un anniversaire surprise ». Heureusement que j’avais acheté les cadeaux que je souhaitais offrir à Sylvie bien avant de recevoir l’invitation ! Comme quoi on y gagne toujours à être organisé(e).

Sylvie m’a avoué avoir été surprise de ne pas recevoir de message de ma part au cours de la journée. Et pour cause, je voulais lui souhaiter un joyeux anniversaire de vive voix et lui claquer les bises aussi ! Ca elle l’a bien compris quand j’ai sonné à sa porte !

On a passé une soirée très agréable, avec du crémant, des malicettes et un délicieux gâteau aux 3 chocolats. En plus de l’amitié partagée et de l’effet de surprise c’était vraiment top !

La preuve est à nouveau faite que les fêtes les plus simples et les plus spontanées sont aussi souvent les plus réussies.

# 11 – Cinéma

DSCN2852

J’aime aller au cinéma mais je n’avais jamais eu l’idée de prendre un tel établissement en photo. Il faut dire qu’en général les cinémas ne sont pas très beaux, à Strasbourg en tous cas.

L’exception est L’Odyssée, l’un des plus anciens cinémas de France qui est inscrit aux monuments historiques depuis 1990.

Ce cinéma offre une programmation à la hauteur de son architecture, belle et inspirante.

Merci Rana !

DSCN2784

J’adore recevoir du courrier. Je parle de vrai courrier hein, pas de factures en tous genres ou de pubs sans intérêt…

Le vrai courrier ce sont quelques mots griffonnés sur du papier ou sur une carte postale ou, encore mieux, c’est un paquet !

Alors vous n’imaginez pas la joie que j’ai eue de découvrir dans ma boîte aux lettres un colis arrivé tout droit de… Jordanie ! Ca c’est carrément du courrier de compet’ !

Rana m’a fait parvenir de jolis cadeaux en remerciement des livres que je lui ai envoyés en mai et en septembre, accompagnés de mots simples empreints d’amitié.

Au-delà des objets reçus j’aime l’idée du colis qui a parcouru le monde pour me rejoindre. J’aime l’idée que des semaines ont passé avant que le cadeau de Rana ne me colle un énorme sourire. J’aime l’idée de l’intention de faire plaisir en toute discrétion, sans la remaner.

Le bonheur c’est simple comme l’amitié. Merci Rana pour cette petite attention qui a tant de signification.

Beau oui comme Bowie

DSCN2822

2 ans ! Ca faisait 2 ans que j’attendais que l’expo David Bowie Is débarque en France ! Alors gare au prochain qui dira que la patience n’est pas une de mes qualités !

Après tout ce temps c’est donc avec un immense plaisir que je suis allée à la Philarmonie de Paris ouverte il y a 2 mois mais dont les travaux ne sont pas terminés. J’en veux pour preuve la présence d’ouvriers sur le site samedi dernier.

Après 1h30 dans la file d’attente (oui, encore de l’attente…) les portes de l’univers de David Bowie se sont ENFIN ouvertes devant moi.

L’exposition est une plongée dans les archives personnelles de David Bowie composées de manuscrits, costumes, vidéos, photos, disques conservés par l’artiste tout au long de ses 50 ans de carrière.

Le parcours de cet artiste cultivant son image nourrie d’art, de mode ou encore de cinéma et aux idées avant-gardistes est retracé au fil de ses multiples métamorphoses. L’ambiguïté sexuelle est très présente : fille ou garçon ? homo ou hétéro ? androgyne à coup sûr ! Et puis David Bowie aime à se prendre pour un extraterrestre. J’adore !

J’ai été frappée par le soin apporté par David Bowie aux pochettes de ses albums, par son génie visionnaire, sa maîtrise de la métamorphose et de l’outrance, par le talent complet de l’artiste qui signe les paroles, la musique, la production et l’image de ses chansons et de ses clips et qui sélectionne  avec soin les couturiers à qui il confie la création de ses tenues de scène. J’ai adoré le style glam-rock, le fait que le corps soit un spectacle à lui tout seul dans cet univers à la fois riche, varié et finalement cohérent. Pour David Bowie sa musique doit ressembler visuellement à la manière dont elle sonne. Eh bien on peut dire qu’il excelle dans cet exercice.

J’ai été particulièrement touchée par une série de photos de David Jones bébé, par un cliché pris par la police américaine lors d’une arrestation. J’ai aussi adoré le fameux manteau Union Jack créé par Alexander Mc Queen ou le costume de scène en forme de disque vinyl conçu par Kansai Yamamoto pour la tournée Aladdin Sane.

Casque audio sur les oreilles, j’ai déambulé avec plaisir au milieu des quelque 300 objets exposés, au son de titres connus ou moins connus. Quelle bonne idée cette immersion par le son ! Et le final dans la dernière salle où sont projetés des extraits de concerts sur un écran géant 3D est tout simplement enivrant.

Pour la petite histoire, on appelle la photo de l’affiche de l’expo la Mona Lisa de la pop. Je trouve ça parfaitement trouvé, à la mesure de la notoriété du beau David Bowie !

# 10 – Mobilier urbain

P1000029

Voilà un thème qui m’a plus qu’inspirée ! Une fois n’est pas coutume.

Il m’a immédiatement fait penser à Paris et ses beaux fauteuils sur lesquels on peut se prélasser aux Tuileries ou au Palais Royal par exemple.

Je manque rarement de faire une pause un peu voyeuse, avouons-le, quand la météo se prête à un moment de détente après une séance de shopping ou une flânerie dans notre belle capitale.

Le printemps à mon poignet

DSCN2842

Dans ma tendre jeunesse j’ai confectionné et porté beaucoup de bracelets brésiliens, souvent en accumulation. J’adorais choisir les couleurs qui allaient m’accompagner durant une saison ou deux et réaliser un bijou facile à réussir même quand on n’est pas forcément très douée de ses dix doigts.

Eh bien cette année je retombe en adolescence ! Poupée Rousse propose en effet, outre de jolies bagues, des bracelets brésiliens… améliorés. J’ai littéralement et immédiatement craqué pour la combinaison fil – gourmette qui apporte un côté chic à ce bijou à priori sans prétention.

Le modèle que j’ai choisi (Luyana de son petit nom) est encore disponible en soldes alors faites-vous plaisir à moindres frais pour aborder le printemps de jolie manière !