Les petits bonheurs # 141

Je n’ai pas vu cette semaine passer. Peut-être parce que les bons moments ont été plutôt nombreux !

J’ai vu Patricia de loin. Et j’ai croisé Floriane.

J’ai passé une agréable soirée avec Virginie qui avait choisi Les Haras pour moments entre amies. J’ai aussi passé un bon moment avec Aurélie qu’il est toujours aussi rigolote. Et puis j’ai pris l’apéro chez ma voisine Catherine, en compagnie de Lucile, notre nouvelle voisine. Et j’ai pris un petit déj avec Muriel.

Quelqu’un jouait du violon quand je suis rentrée, un soir après le boulot. Pas mal comme accueil dans la cour de mon immeuble !

Des collègues belges ont apporté de délicieux chocolats au bureau.

Catherine m’a offert un joli bol made in Cordoue pour me remercier d’avoir pris soin des plantes sur sa terrasse.

J’ai passé un belle soirée en hommage à Alain Bashung, un artiste dont j’adore l’univers et qui est décédé il y a déjà 10 ans mais qu’on n’oublie pas.

J’ai apprécié la fraîcheur du matin et du soir. Que j’aime la fin de l’été !

Il y a eu un magnifique ciel bleu et rose quand le soleil s’est couché.

J’ai fait un tennis avec Lauriane avec qui les échanges sur le court sont intéressants, voire amusants.

J’ai fait la sieste.

J’ai profité de la terrasse chez ma mère et on a dîné ensemble. Ca faisait un moment que je n’étais pas allée à la campagne et j’ai apprécié de profiter d’un bon repas.

Je me suis promenée à Strasbourg, tôt le matin, quand les rues sont désertes ou presque.

Voilà, c’est tout. A dimanche prochain pour la nouvelle mouture des petits bonheurs de la semaine.

Lui & Nous

Après le concert de la tournée & auquel j’ai assisté il y a un peu plus d’un an, j’ai eu le plaisir et le bonheur de revoir Julien Doré sur scène récemment, dans une tout autre ambiance.

La tournée Vous & Moi, la version acoustique de sa grande soeur, investit des petites salles et laisse la part belle à la douceur, tant musicalement que visuellement.

Autre particularité de cette tournée : la première partie est assurée par un « inconnu », un artiste local, à qui Julien Doré offre une scène ouverte et une belle exposition.

A Strasbourg c’est Deborah qui a été retenue, accompagnée de sa harpe, pour un pur moment de grâce, en parfait accord avec le concert qui allait suivre. Elle a eu le privilège de partager un duo harpe – guitare avec Julien Doré pour conclure sa prestation et emmener le public vers l’univers de la « star ».

Ce concert était placé sous le signe de l’échange (Julien Doré parle beaucoup entre les chansons !), de l’humour et de l’autodérision (il y a notamment une histoire de roux qui m’a fait plus que sourire), de la poésie et de la bienveillance (comme d’habitude, j’ai envie de dire).

J’ai aimé ce décor intimiste et chaleureux, parfaitement en accord avec la douceur des mots et des notes. J’ai adoré l’interprétation inédite de chansons maintes fois écoutées et entendues mais qui ont trouvé une nouvelle identité, une nouvelle tonalité.

Julien Doré a partagé une chanson au milieu de son public (et même à un mètre de moi. Mode groupie on !), a fait rire et sourire son auditoire, a insufflé de la simplicité dans sa relation et ses échanges avec les autres. Il a mis de la poésie dans les coeurs, il a encouragé un public éclectique à se joindre à lui pour donner de la voix et a charmé tout le monde, je crois.

Le concert s’est conclu avec la présence du fameux panda sur scène, dans la lumière alors que Julien Doré avait rejoint la pénombre du décor pour s’effacer, préparer sa sortie en quelque sorte.

Une fois de plus, le talent et l’originalité de cet artiste m’ont touchée et j’ai eu des papillons dans la tête et dans les yeux bien après la dernière note.

Merci Julien pour ce merveilleux moment hors du temps !