Ma (petite) revue ciné d’octobre

En octobre j’ai vu 2 films et… j’ai été déçue à 2 reprises…

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J’ai vu Saint Laurent de Bertrand Bonello dont l’histoire retrace les années les plus créatives du couturier, de 1967 à 1976. Le film montre un artiste dont la vie oscille entre la création et la destruction. On retrouve bien sûr les histoires d’amour tumultueuses, les phases de travail, les démons qui hantaient Yves Saint Laurent, l’essence de la vie de l’artiste. L’aspect humain avec tout ce qu’il implique de jalousie, de désir, de faiblesses est montré sans aucun filtre, voire même de manière exagérée. Il en résulte un film sans poésie (mais sans doute était-ce le but) qui ne m’a pas emballée. Je n’ai pas été touchée par les images, encore moins par la musique et par Gaspart Ulliel que je qualifierais presque de ridicule… Ce film dont je n’ai aimé ni l’esthétique ni la mise en scère m’a paru interminable…

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J’ai également vu Samba d’Olivier Nakache et Eric Toledano. Samba est un sans-papiers sénégalais qui vit en France depuis 10 ans. Il est abonné aux petits boulots et rencontre Alice, victime d’un burn out et bénévole dans une association d’aide aux immigrés. Samba est une comédie sociale, un mélange de gravité et de légèreté. Le film mêle la quête de sens et le besoin de reconnaissance, les anecdotes drôles dans un quotidien lourd mais je me suis ennuyée… Je n’ai pas beaucoup ri, je ne suis pas réellement entrée dans l’histoire… Même Tahar Rahim dont je suis ultra fan n’a pas réussi à me faire aimer ce film… c’est dire l’étendue de ma déception…

Après ces 2 déconvenues je vais reprendre le chemin des films à plus faible couverture médiatique, ceux qui me plaisent le plus en général.