Tapis vert

Il n’y a pas de casino à Strasbourg. Mais en ce moment on peut fouler un tapis vert qui pare les rues bordées de tilleuls.

Je n’avais jamais remarqué ces fleurs au sol au cours des années passées et aujourd’hui, au gré de ma flânerie, j’ai eu l’impression d’en voir partout. Etrange…

Comme quoi on n’a jamais fini de découvrir sa propre ville.

Quiétude bistronomique

Des restaurants ferment, des restaurants ouvrent ou se transforment. Calmos (69 grand Rue) est le petit nouveau que j’ai testé tout dernièrement, pour mon plus grand plaisir de gourmande.

Le restaurant est joliment décoré, dans un esprit industriel adouci par des couleurs tendres et des bouquets de fleurs fraîches. Le soin porté au décor et au dressage des tables m’a particulièrement charmée.

L’endroit offre deux ambiances, sur deux étages : la convivialité règne au rez-de-chaussée et l’intimité est à l’honneur au premier étage dont la banquette est particulièrement confortable !

La cuisine proposée est un hommage aux classiques des vieux bistrots. On trouve ainsi à la carte les célèbres joue et langue de boeuf, le parmentier de boudin ou encore l’île flottante. Les produits sont frais et de saison et tous les plats sont faits maison (hormis les frites… dommage…).

Pour caler ma faim j’ai choisi un risotto de courge accompagné d’une tuile au parmesan. Mon assiette était généreuse, trop généreuse même puisque je n’ai plus eu de place pour un dessert. Ce qui est toujours un petit crève-coeur pour moi ! Ma co-testeuse du jour a choisi la salade de foies de volaille et même constat, une assiette bien remplie qui l’a également obligée à faire l’impasse sur la touche sucrée.

Calmos est ouvert jusqu’à minuit et je compte bien y aller un soir pour goûter un cocktail, à l’intérieur ou sur la terrasse.

Les petits bonheurs # 82

Voici venu le moment de notre rendez-vous du dimanche soir. Une fois de plus je vous y dévoile les petites choses qui ont embelli ma semaine.

J’ai vu un gars à fleurs dans le train. Il portait un polo et des espadrilles fleuries et ça lui allait bien !

J’ai transféré des offres d’emploi à Catherine qui sera bientôt sur le marché du travail.

Une collègue m’a dit qu’elle souhaitait qu’on garde le contact quand/si je quitte l’entreprise. Et elle m’a déposée à la gare, après le boulot. On a changé la configuration des bureaux et j’apprécie beaucoup plus mon cadre de travail désormais. Ma période d’essai s’est terminée. J’ai répondu à une offre d’emploi.

Il y a eu une journée sans soleil, ou presque. Il a même plu !

Mon super coach m’a appelée à son retour de vacances.

J’ai vu des lapins dans les champs.

J’ai passé une agréable soirée avec Muriel et une belle journée avec Alice, Aurélie, Lucie, Maman et Marc.

J’ai cueilli des concombres et des tomates au potager.

Voilà, c’est tout pour cette fois !

# 21 – La bohème

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La bohème est pour moi synonyme de longues jupes en coton, de roulottes, de nappes étalées en plein champ et de coquelicots bien sûr !

J’aime ces fleurs légères et sans prétention, fragiles et tellement expressives à la fois. Chaque année je me surprends à prendre des photos de ces touches rouges qui illuminent la campagne et le bas-côté des routes.

Douce douche

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Le doux parfum des fleurs d’amandier sur mes cheveux m’avait séduite alors je poursuis la découverte des produits Kneipp avec la crème douche douceur de la même gamme.

Ce gel douche est adapté aux peaux sèches. Il contient des huiles végétales d’amande et de jojoba qui nourrissent la peau et la laissent veloutée et souple.

Il ne contient ni colorants ni paraben et sa formule sans savon et au pH neutre assure une sensation de douceur et un très agréable moment sous la douche.

Et, cerise sur le gâteau, ce gel douche n’est pas testé sur les animaux, un argument auquel je suis de plus en plus sensible.

Clichés ?

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Des Pays-Bas je ne connais qu’Amsterdam. Et ce qui est vrai dans la capitale n’est peut-être pas vrai dans les campagnes, certes, mais j’ai quand même relevé quelques petites choses que je crois emblématiques de ce pays.

Attention, ce qui suit est un peu cliché mais pas seulement. Du moins je l’espère !

Le cannabis fait partie de la vie quotidienne des gens. En déambulant dans les rues d’Amsterdam j’ai trouvé sur mon chemin de nombreux coffee shops. Ils vont du style old fashion au plus branché. Et la clientèle est à l’avenant. Bêtement j’ai été surprise de voir un homme d’une soixantaine d’années au style vestimentaire très classique entrer dans l’un de ces établissements… Qu’est-ce qu’on est conditionné quand même…!

Les habitants ne mettent pas de rideaux aux fenêtres des maisons et des appartements. On doit cette tradition aux femmes de marins qui, pour prouver qu’elles n’avaient rien à cacher pendant les longues absences de leurs maris, habitaient des maisons sans voilages. J’aime bien cette tradition qui permet d’admirer la déco des logements qui est souvent très soignée.

La Hollande c’est l’autre pays du fromage dit la pub ? Là je dis oui et non ! Il est vrai que les rayons de fromage sont bien achalandés mais les Néerlandais déclinent le même fromage à l’infini… ils trichent un peu quoi ! Ainsi on trouve du gouda nature, du gouda à la tomate, du gouda aux fines herbes, etc…

Les Néerlandais sont directs. Un vendeur qui a capté mon super(be) accent français m’a très naturellement demandé si j’étais venue pour visiter les musées ou les coffee shops ! Depuis, un collègue m’a expliqué que les Français tout particulièrement sont réputés pour faire le déplacement pour le cannabis. Parce que la France a la législation la plus répressive d’Europe en matière de drogue ?

Les Néerlandais sont un peu rudes. Je ne suis pas un modèle de lenteur et pourtant je me suis fait bousculer plusieurs fois en entrant ou en sortant du tram, parce que je « traînais ». Et bien sûr les mecs mesurant 2 mètres ne présentent pas d’excuses à un modèle réduit d’1 mètre 58 !

Dans cette ville les gens adorent les fleurs. Ils en achètent pour se faire plaisir, et pas seulement pour les offrir quand ils sont invités chez quelqu’un. J’ai vu de nombreuses personnes avec un bouquet sous le bras ou acheter des bulbes à planter. Et puis dans les restaurants et cafés il y a souvent des fleurs (des vraies) sur la table. Des fleurs qu’on peut acheter dans les supérettes de quartier.

A part ça j’ai bien sûr vu des cyclistes par centaines (et une collision entre 2 d’entres eux), j’ai pû vérifier que tout le monde parle anglais mais en revanche je n’ai vu personne vêtu d’orange de la tête aux pieds qui d’ailleurs n’étaient pas chaussés de sabots !