Les petits bonheurs # 258

Ca y est, mes vacances se terminent. Mais j’en ai bien profité jusqu’à la dernière minute !

J’ai fait une (longue) promenade à Kehl. J’adore passer la frontière, comme ça, l’air de rien, et me retrouver chez nos voisins allemands.

J’ai passé une journée active à la campagne où j’ai lavé ma voiture, ce qui me prend environ 4 heures ! En passant à la station de lavage avant le nettoyage intégral à la main (d’où les 4 heures !) j’ai été interrogée par un journaliste sur les restrictions d’eau en cours et j’ai retrouvé ma photo dans le quotidien de la région dès le lendemain !

Je suis allée chez le coiffeur. Comme d’habitude le meilleur moment a été le massage du cuir chevelu. Ma coupe rafraîchie me plait beaucoup, notamment parce que mes cheveux ont retrouvé un beau volume.

J’ai vu Revoir Paris et j’ai versé ma petite larme. Quel bonheur les émotions ressenties dans une salle de cinéma !

J’ai fait une visite à mon amie Isabelle dans sa jolie boutique. Elle a savouré le canelé (son péché mignon !) que je lui ai offert.

J’ai passé une agréable soirée avec Nicolas, entre ciné et fromage accompagné de verres de vin en terrasse. On avait bien besoin d’un petit remontant après avoir vu Avec amour et acharnement. Quel film.

Il a plu ! Et replu !

J’ai déjeuner avec Maman dans un super restaurant de Strasbourg. On s’est ré-ga-lé.

J’ai enfin visité le cimetière militaire le long duquel je passe très souvent en voiture. Une bonne chose de faite !

J’ai fait une sieste.

J’ai bu un verre avec ma coiffeuse, à l’occasion de l’ouverture du salon qui a été rénové dernièrement. Un bel endroit dont j’ai profité dans la semaine pour un rafraîchissement de ma coupe de cheveux.

J’ai passé une agréable soirée avec Aurélie.

J’ai porté un jean, un foulard, un gilet et un blouson. Et en même temps en plus !

J’ai échangé quelques mots avec Davide (qui fait de très jolies photos).

J’ai participé à l’anniversaire surprise de Mélanie organisé par Olivier. Augustin, Héléna, Julien, Liam, ionel, Ludovic, Nicole Pascaline et Samuel étaient là aussi.

Et maintenant j’essaie de ne pas trop anticiper mon retour au bureau demain pour passer une nuit reposante avant la reprise.

Un étoilé sans prétention

Vous le savez, depuis quelques années mon anniversaire est le prétexte pour m’offrir un repas dans un bon restaurant, un restaurant étoilé ! Il était temps que je vous parle du cru 2020 puisque ce moment remonte au mois de… janvier !

Cette année j’avais réservé une table chez Les Funambules, peut-être parce que le restaurant est situé dans un coin de Strasbourg que je fréquente peu. Eh oui, je suis comme ça, j’aime la découverte dans ma propre ville !

Le quartier est résidentiel, on sent une vraie vie ici, surtout un samedi matin, tout à côté de l’adresse gourmande en question. A quelques pas j’ai d’ailleurs repéré une charmante boutique qui allie fleurs, déco et papeterie, un combo gagnant quoi !

Mais passons à l’essentiel, le resto et sa cuisine ! Une odeur alléchante m’a effleuré les narines dès le pas de la porte franchi ; autant dire que la première impression a été bonne !

La carte est courte, le choix n’a donc pas été fait que de renoncements, ce que j’apprécie beaucoup. La frustration dans un restaurant étoilé est quelque chose que je déteste au plus haut point et une carte restreinte, en plus du gage de fraîcheur qu’elle offre apparaît comme un véritable condensé de saveurs.

Après un kir à la fleur de sureau pour Maman et un verre de muscat pour moi en apéritif il était temps de faire un choix pour ce repas de fête. Maman a choisi le gravelax de truite à la bergamote accompagné de chou rave en entrée et moi j’ai opté pour les ravioles de canard confit aux herbes et miso, copeaux de fenouil et gingembre, bouillon mousseux de topinambour grillé, rien que ça !

Puis on a choisi un poisson maigre accompagné d’une déclinaison autour du panais présenté en chips, en gnocchi et entier rôti au sirop d’érable, confiture orange-safran et jus de crustacés.

Et pour finir, Maman a choisi le baba (en forme de cube !)  et moi j’ai découvert le tapioca (il était temps !) non sans avoir hésité avec le baba pour sa glace au marron fumé. J’avais parlé de mon hésitation au moment de la commande ce qui m’a donné le droit de goûter à la glace bien qu’ayant choisi l’autre dessert. J’ai beaucoup apprécié cette attention. Le sens du client, ça signifie quelque chose chez Les Funambules !

Au-delà de la cuisine faite de produits locaux j’ai beaucoup aimé le cadre épuré et contemporain de ce restaurant qui offre un excellent rapport qualité-prix.

Je vous recommande vivement cet étoilé sans prétention situé au 17 rue Geiler à Strasbourg qui a confirmé cette année son étoile acquise en janvier 2019.

Typiquement alsacien

Pâques a été l’occasion d’aller au restaurant avec ma maman chérie. Elle avait envie de profiter de cette journée pour me faire découvrir une adresse typiquement alsacienne. J’ai dit banco, bien sûr !

La Taverne Katz (80 Grand Rue, 67700 Saverne), c’est tout d’abord un lieu. Le restaurant construit en 1605 a une magnifique façade à colombages qui attire tous les regards. Et puis l’intérieur vaut son pesant d’or aussi. La décoration est entièrement à la mode alsacienne d’autrefois. J’ai particulièrement aimé les meubles polychromes, les costumes, les pots en grès et l’alcôve entourée d’une banquette où j’aurais adoré prendre place pour mon déjeuner. Comme dans toute maison alsacienne typique, les plafonds bas et l’omniprésence du bois rendent cet endroit très chaleureux. On s’y sent comme chez soi, vraiment.

Et dans l’assiette alors, me direz-vous ! Eh bien, c’est un régal qui n’a d’égal que celui pour les yeux ! La maison propose bien sûr les incontournables de la région (galettes de pommes de terre, choucroute, quenelles de foie,…) mais aussi des plats un peu moins vus (salade de pot au feu, baekeoffe de poisson par exemple).

Après avoir savouré un apéritif maison fait de crémant et de liqueur de rose (miam !) et accompagné d’une mini knack, Maman a opté pour la timbale de volaille aux morilles sous croûte. Un très bon choix ! Et une chouette présentation pour ce plat. Moi je me suis régalée avec le croustillant de filet de sandre au foie gras et pain d’épices. J’ai adoré ! En dessert Maman a pris la coupe Katz (sans chantilly, c’est très important !) faite de crème glacée pralin, d’amandes grillées et de caramel et moi j’ai opté pour la classique île flottante, un dessert que j’aime beaucoup mais que je ne choisis pas souvent. Et pour finir, la maison nous a offert un pousse-café, une eau-de-vie de poire fameuse !

J’ai passé un agréable moment, j’ai bien mangé (les portions sont plutôt généreuses, on est en Alsace oui ou non ?) et je me suis un peu sentie comme une touriste dans ma région, ce qui n’est pas pour me déplaire !

Un délicieux Binz !

Il y a des traditions auxquelles je ne déroge pas, quelles que soient les circonstances. Et entre autres il y a le déjeûner dans un restaurant étoilé à l’occasion de mon anniversaire que j’ai instauré il y a quelques années et qui est devenu un incontournable qui me réjouit toujours autant.

Cette année j’ai mis le cap sur le Haut-Rhin, quelque part au mois de septembre. Oui, plusieurs mois après mon anniversaire (circonstances oblige, j’vous dis !).

Après une promenade dans le village viticole d’Ammerschwihr, sous un beau soleil et dans l’effervescence de la saison des vendanges, je me suis attablée chez Julien Binz qui a installé ses fourneaux ici fin 2015 et qui a déjà décroché une étoile au Michelin. Pas mal, non ?

On se sent attendu en arrivant ici. La porte s’ouvre avant d’avoir gravi les quelques marches qui conduisent à la réception intimiste du restaurant. Et le sourire est omniprésent. Bon point d’entrée de jeu !

En apéritif on a choisi un délicieux champagne. Pour moi c’est LE bon choix pour démarrer un repas de luxe.

Après une longue hésitation (tout parait délicieux sur cette carte) j’ai choisi le foie gras de canard légèrement fumé en entrée. Il était accompagné d’un chutney de figue. Mon invitée a également opté pour cette entrée et on est d’accord, c’était très bon !

Pour continuer j’ai savouré les médaillons de homard (en photo) accompagnés de pickles de betteraves, d’un gel litchi et de palets de riz. Mon invitée avait choisi la noisette de chevreuil, très joliment présenté avec sa sauce genièvre, sa polenta, ses pâtes de fruits aux myrtilles et sa mousseline de patates douces. Là encore, on s’est régalé !

Et pour finir sur une douce note sucrée j’ai dégusté une étonnante tarte tatin aux figues violettes caramélisées au porto servie avec un sorbet au fromage blanc. Mon invitée n’a pas résisté à l’appel du chocolat et plus précisément au feuille à feuille chocolat noisette accompagné d’une glace café.

Et, comme toujours dans les restaurants étoilés, le café a apporté une occasion supplémentaire de se régaler. Chez Julien Binz il est servi avec une guimauve, une forêt noire et du riz soufflé croustillant enrobé de chocolat. Miam et remiam !

J’ai tout aimé au cours de ce repas, de l’accueil au paiement de l’addition (oui, oui !) qui est l’occasion de rencontrer le chef en personne et tout en sourire. J’adore !

La cuisine est contemporaine mais ne tourne pas le dos à la tradition et mise sur les produits locaux et de saison. Vraiment dans l’air du temps en somme.

A noter que l’apéritif et les cafés peuvent être servis sur la terrasse si la météo le permet.

Vous l’aurez compris, je vous recommande chaudement de faire une halte gourmande au Restaurant Julien Binz, 7 rue des Cigognes à Ammerschwihr (68770).

Le meilleur de Strasbourg

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Les restaurants indiens, c’est un peu comme les restaurants japonais… c’est souvent kitschouille à souhait et pas toujours au top côté saveurs…!

Mais comme chacun sait, toute règle a son exception. A Strasbourg il s’agit du Cinnamon. Il parait même que c’est le meilleur restaurant indien de la ville. Carrément ! Et c’est vrai qu’on y mange bien. Et que c’est classe.

Je l’avais découvert avec des amis il y a quelques temps et il m’avait laissé un goût de reviens-y auquel je n’ai pas résisté bien longtemps. Du coup j’ai vite fait trouvé un prétexte pour proposer un resto aux filles et zou, on est parti se régaler (et papoter aussi) !

La carte est très alléchante, les descriptions font à elles seules voyager et les prix sont corrects, in my opinion. Après un mojito ginger j’ai opté pour un briany à l’agneau qui s’est avéré délicieux et plus que copieux. Pour moi qui adore la cannelle ce plat était parfait ! En dessert (oui, au resto je prends toujours un dessert) j’ai choisi un rasmalai, une délicieuse crème au goût de safran. Un pur délice !

Seul petit bémol, le service que j’ai trouvé un peu mollasson mais bon, c’est un moindre mal quand on a aussi bien mangé !

Saveurs asiatiques

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Hier soir, avec 2 copines, j’ai découvert East Canteen, un resto qui propose des plats venus du Japon, de Chine, de Corée et de Thaïlande. De quoi s’offrir une belle plongée en Asie !

La carte est alléchante et bien présentée, simple à comprendre même pour qui n’y connait pas grand chose en cuisine asiatique. Après mûre réflexion (et un cocktail qui contenait malheureusement trop de glaçons et donc pas assez chargé en gin…) j’ai opté pour un assortiment de raviolis farcis (poulet, crevettes, légumes) accompagné d’une bière au yuzu bien fraîche. C’était bon, suffisamment copieux pour mon dîner même si je pense que les gros appétits jugeront la quantité un peu insuffisante. Et puis j’ai pris un dessert, un gâteau au citron orné d’un épais glaçage ! Miam !

J’ai apprécié l’ambiance chaleureuse et conviviale de ce restaurant à la déco jeune, soignée et colorée faite de bambou, de bois et de lampions. Le service assuré par 3 filles est efficace et souriant et la cuisine ouverte contribue à l’exotisme avec son chef asiatique qui officie à quelques mètres de ses convives.

Le restaurant ne prend pas de réservation le soir, il est donc recommandé de ne pas arriver trop tard. Je dirais que le créneau 19:00 – 19:30 est pas mal pour être sûr de trouver une table.

Bento et compagnie

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En matière de cuisine japonaise, à Strasbourg comme partout ailleurs, on a l’option des chaînes qui livrent sushis, sashimis et autres yakitoris. Oui, mais moi j’aime pas les livraisons à domicile, moi j’aime aller au resto ! Non, je ne suis pas chiante…!

Mais le souci c’est que les restaurants japonais sont en général kitsch, faussement authentiques ou mauvais… Bref, il est difficile de trouver son bonheur quand la baguette vous titille !

Eh bien tout dernièrement j’ai testé Niko Niko, LE bistrot japonais dont la spécialité est le bento. Après une bière Iki en apéro j’ai craqué pour le bento sushi, un classique certes, mais surtout une valeur sûre ! Un bento servi avec une soupe miso offerte par la maison. Sympa ! Pour la touche sucrée j’ai opté pour la glace au matcha, une super découverte parce qu’il faut bien avouer qu’en général les desserts japonais ne sont pas top.

Outre la nourriture j’ai apprécié l’ambiance de ce restaurant à la décoration simple, zen, moderne et chaleureuse. Et puis, ça peut paraître bête mais le chef est japonais ! Ah, autre chose, ici vous ne serez pas assis par terre, non non, mais sur des tabourets hauts et perso j’ai apprécié ce décalage qui justifie la dénomination de bistrot !

Vous l’aurez compris, Niko Niko a tout bon, et ce jusqu’à sa localisation (72 avenue des Vosges, Strasbourg) à deux pas de chez moi !

A retardement

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Ca fait 5 ans que mon anniversaire est synonyme de repas dans un restaurant étoilé. J’aime cette tradition que j’ai moi-même instaurée parce que je suis gourmande, certes, mais aussi parce qu’un repas est un véritable moment de plaisir et de convivialité.

Cette fois ce moment a été décalé du 24 janvier au 24 mai, l’état de faiblesse de mon père en début d’année ne permettant pas d’envisager plusieurs heures à table… Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts, mon père est décédé, mais je tenais à faire vivre ma tradition, coûte que coûte. Parce que la vie continue. Parce que Papa a toujours voulu que ma vie soit douce.

C’est ainsi que la veille de ma fête j’ai eu le plaisir de déguster, en compagnie de ma chère maman, un délicieux repas dans un restaurant à l’ambiance cosy et à la décoration d’inspiration japonaise, simple et moderne et où l’accueil et le service sont souriants.

Pour mon plus grand plaisir gustatif j’ai opté, après une tarte flambée revisitée (top !) accompagnée d’un verre d’Irouleguy en apéritif, pour le foie gras de canard au torchon fumé aux sarments de vigne (et servi sous cloche. J’adore l’idée !), le turbot et risotto aux coquillages et un dessert chocolat/menthe délicieusement rafraîchissant et aux textures variées. Pour couronner le tout j’ai pris un café, accompagné d’excellentes mignardises. De quoi être rassasiée jusqu’à l’heure du déjeûner du lendemain !

J’ai énormément apprécié ce déjeûner particulier, ce restaurant se prêtant parfaitement à la célébration d’un événement spécial tel que mon anniversaire qui avait une saveur vraiment inédite cette année…

Je vous recommande donc vivement le Gavroche situé au 4 rue Klein à Strasbourg. Avis aux épicuriens !

Sagesse et chaleur

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Je suis triste, certes, mais la gourmande qui sommeille en moi ne se laisse pas abattre !

C’est ainsi que quelques jours à peine après le décès de mon père j’ai voulu maintenir un resto prévu avec une amie. Parce que la vie continue.

Il s’avère que l’endroit qu’on avait choisi s’est particulièrement bien prêté à notre chagrin et à notre besoin de douceur et de réconfort. En effet, l’accueil ici est souriant et chaleureux. Et les plats nous ont fait saliver dès la lecture de la carte. De quoi passer un bon moment, quelles que soient les circonstances.

On a commencé par trinquer à la bière. Trinquer pour faire honneur à la vie, à l’amitié, au souvenir, à l’instant présent. Et puis Sylvie a dégusté un suprême de poulet aux langoustines et je crois pouvoir dire qu’elle s’est régalée. Moi j’avais choisi une entrée qui a fait office de plat, du saumon mariné. Le poisson était présenté en gros dés, mon assiette était très jolie et les saveurs étaient parfaites, fraîches et délicatement relevées. Pour la touche sucrée Sylvie a opté pour le crémeux vanille accompagné d’un sorbet à l’orange sanguine (original comme parfum !) et moi j’ai savouré un biscuit noisettes aux feuillantines croustillantes. C’était dé-li-cieux !

Je vous recommande ce restaurant dont la carte change chaque mois et dont la note est raisonnable. Je tiens à insister sur l’accueil très sympathique, le décor doux et l’ambiance détendue qui règne ici. Sylvie et moi avons fait durer le dîner sans avoir l’impression de gêner et j’ai particulièrement apprécié cette marque de respect. Ici c’est pas l’usine, on prend son temps.

Ambiance années 30

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Je vous l’ai dit, janvier est un mois de convivialité et qui dit convivialité dit resto avec les amis.

Pour mes récentes retrouvailles avec Katia (que je n’avais pas vue depuis l’été dernier… shame on me!) j’ai réservé une table chez Les Innocents. Le restaurant, situé à 2 pas de chez moi, a ouvert en août dernier mais je n’avais pas encore eu l’occasion d’y aller. C’est désormais chose faite.

Le restaurant propose des plats traditionnels revisités. On trouve ainsi à la carte la tête de veau vinaigrette, le foie gras de canard, le filet de bar, la pomme d’amour etc… bref, de grands classiques de la cuisine française.

Katia et moi avons opté pour le black burger des Innocents, un plat pas si traditionnel que ça en fait ! Mentions spéciales pour le pain au dessus noir et pour la cuisson parfaite de la viande. Le burger est joliment présenté sur une planche en bois.

Pour la touche sucrée on a craqué pour la forêt noire façon club sandwich. On a autant adoré les saveurs du gâteau que la présentation originale du dessert, complètement contemporaine !

Je vous recommande ce restaurant situé près du tribunal (ça ne s’invente pas !) au 4 rue Paul Muller Simonis exactement. Vous y apprécierez l’ambiance chaleureuse, le service efficace et attentionné et une cuisine originale. Pour ce faire, n’oubliez toutefois pas de réserver votre table car le restaurant ne désemplit pas.