Une soirée au stade (2018)

Quel bonheur d’avoir pu assister à ce match que je voulais voir en live mais pour lequel les billets étaient introuvables. Introuvables jusqu’à un tirage au sort organisé par mon employeur d’alors, un tirage au sort qui m’a souri. Une fois n’est pas coutume !

Le match s’est terminé sur le score de 1 partout, 1 pénalty partout même. Je m’en souviens comme si c’était hier.

En ces temps de disette de spectacle vivant ce souvenir a un goût très particulier, un goût d’exception. Se souvenir des belles choses, tel est mon leitmotiv.

Les petits bonheurs # 203

C’est encore un 2 en 1 que je vous propose aujourd’hui, la faute cette fois à une suspicion de covid19 et finalement à un syndrome grippal…

Stéphane m’a appelée. En voilà un qui soigne sa clientèle !

Le télétravail est prolongé jusqu’au 7 janvier.

J’ai emballé les cadeaux.

Mélanie m’a fait un super soin du visage. Un bon moment de détente entre filles.

Il y a eu de la brume dans la campagne.

J’ai profité de la possibilité d’aller au-delà de 20 km pour passer une journée à la campagne.

Farid m’a appelée. Quel ami fidèle, ça fait du bien d’être bien entourée.

J’ai fêté Noël entre filles ! Chez Maman il y avait Christine, Louise, Paola et Olivia. Quel doux moment !

J’espère que vous avez profité des vôtres et que ces quelques jours hors du temps vous ont fait du bien.

Les petits bonheurs # 202

Voilà encore une semaine qui a filé.

Je me suis promenée avec Céline et Farid dans la ville délaissée par les touristes mais toujours aussi joliment décorée.

J’ai démarré la traditionnelle distribution de bredele.

J’ai rendu une courte visite à Maman.

Le dentiste m’a à nouveau tutoyée.

J’ai fait les premiers achats de Noël.

Nicolas m’a appelée. On a papoté un long moment.

Mélanie m’a offert une pose de vernis faite par Elise, sa nouvelle apprentie. Chouette !

J’ai rendu visite à Isabelle dans sa belle boutique et je me suis offert les premiers marrons glacés de la saison. Miam !

Je me suis promenée sous la pluie.

J’ai passé un moment avec Maman, dans les rues d’un village alsacien. Et puis on a pris un thé accompagné de bredele dans la voiture, comme les deux semaines précédentes !

J’ai échangé quelques mots avec Patricia.

Et vous, avez-vous profité de votre semaine ?

Burn août

Quelque chose se tramait depuis des semaines, voire des mois. Un malaise, des maux de tête fréquents et une grosse fatigue auraient dû me mettre sur la piste de mon médecin mais je ne suis pas du genre alarmiste alors j’ai laissé courir. Sauf qu’un matin, malgré de gros efforts, je n’ai plus réussi à me lever…

Des vertiges m’ont assaillie.

Mon corps a dit stop.

J’ai fait un burn out.

C’était la résultante de 4 années difficiles et d’un quotidien professionnel détestable et sans intérêt, mais pas uniquement.

Mon généraliste a donc décidé de me mettre en arrêt de travail pendant deux semaines, histoire que je reprenne mon souffle et mes esprits. Et que je prenne un peu de recul. Deux semaines pendant lesquelles j’ai beaucoup dormi, un peu lu et fait pas mal de sorties histoire de me changer les idées. Et puis mon arrêt a été prolongé de deux semaines pour coïncider avec le début de mes vacances. Parce que j’allais mieux, certes, mais pas bien et qu’il était trop tôt pour envisager de retourner au bureau.

Après 6 semaines loin du bureau il était clair que le noeud du problème se situe au niveau professionnel mais il a bien fallu retourner travailler… J’ai donc repris le chemin du bureau début septembre, avec de bonnes résolutions et non sans avoir commencé un travail sur moi, accompagnée d’un psy.

A l’heure qu’il est je poursuis mes séances à raison d’une toutes les 2 semaines et je suis toujours sous neuroleptiques. Ce traitement en face à face (non, je ne m’allonge pas sur le divan !) soutenu par un traitement médicamenteux m’apporte une sérénité non négligeable et une vraie bouffée de vérité et d’humanité dans un quotidien qui en manque singulièrement. Je prends du recul sur le plan professionnel et ma réflexion avance sur certains aspects de ma personnalité et de ma vie.

Je suis dans quelque chose d’un peu vaporeux qui est loin d’être désagréable mais je suis bien consciente que ça n’est pas exactement la vraie vie et que cette situation ne pourra pas durer ad vitam eternam. En attendant je me soigne, je suis à l’écoute de mon ressenti, je m’autorise des faiblesses, je me respecte d’avantage.

Je me félicite d’avoir entamé cette démarche qui, je pense, me permets de supporter ce 2è confinement de manière correcte, quoi que moins enthousiaste que le premier. Le point positif étant le télétravail qui m’éloigne du cadre qui me fait souffrir.

Malgré l’adversité je trouve l’énergie de poursuivre ma recherche d’emploi (j’ai d’ailleurs passé un entretien d’embauche en août !), de m’offrir des bulles d’insouciance et j’évite plutôt pas mal le laisser-aller qui pourrait prendre le dessus en ces jours d’enfermement subi.

Bref, la route est longue mais je me relève et je poursuis mon chemin, du mieux possible.

Les petits bonheurs # 201

Le temps file, c’est fou ! Voici déjà arrivé le moment des petits bonheurs de la semaine.

J’ai ouvert les premières petites fenêtres du calendrier de l’Avent.

Le givre a recouvert les toits d’une jolie couche blanche.

J’ai mis mon pull rose Malabar.

J’ai vu des filles avec leurs calendriers de l’Avent sous le bras.

Quelques flocons de neige ont parsemé les toits d’une fine poudre blanche.

Yeah Baby a passé le test du contrôle technique haut la roue comme dit Aurélie.

J’ai vu Jacques à la télé.

J’ai longuement papoté au téléphone avec Katia.

J’ai passé une journée en pyjama.

Farid m’a appelée.

J’ai passé un moment avec Maman, dans les rues d’un village alsacien. Et puis on a pris un café accompagné de bredele dans la voiture, comme la semaine dernière !

Une belle semaine en somme.