Rien de tel qu’une bière pour trinquer ou même faire une pause en solo !
J’ai un faible pour les blondes mais cette blanche-là n’est pas mal non plus !
L’avantage de vivre dans une région frontalière c’est qu’on peut être dépaysé sans parcourir de nombreux kilomètres.
L’autre jour, alors que j’avais envie d’entendre une autre langue (et de me promener dans une ville où les trottoirs sont propres), j’ai pris la direction de Karlsruhe, une ville du Bade-Wurtemberg qui compte environ 300 000 habitants. Il s’agit d’une jeune cité (elle est née il y a 3 siècles à peine) où se côtoient la pierre et la verdure.
J’ai commencé ma découverte par le château et son parc où il fait bon flâner sous les grands arbres et entre les cyclistes qui sont légion (et rapides mais attentifs aux badauds). Le château de style baroque abrite le musée régional badois que je n’ai pas visité, le beau temps ne m’incitant pas du tout à m’enfermer. L’édifice constitue le coeur de la ville qu’il coupe en 2 : au nord se trouve le parc et les rues de la ville rayonnent au sud.
Le centre-ville est largement piétonnier et invite lui aussi à la promenade. A l’heure du déjeuner j’ai fait une halte sur une terrasse ombragée, au calme, après en avoir testé une autre pour siroter une bière (allemande et bio bien sûr) en guise d’apéro !
Au hasard de ma balade je me suis retrouvée dans un quartier cosmopolite et populaire, puis dans un autre beaucoup plus cossu où il y avait un joli jardin particulièrement bien entretenu et qui m’a attirée jusqu’au moment où j’ai constaté que l’entrée est… payante. Bizarre pour un jardin « public »…
Hormis le château, la ville ne comporte pas de monuments particulièrement remarquables. Le visiteur doit donc fouiner pour trouver ses propres centres d’intérêt. En ce qui me concerne j’ai adoré croiser des sculptures modernes, j’ai déniché des plaques en hommage à des victimes de la déportation et j’ai entrevu des jardins cachés à l’arrière des habitations.
Et puis, comme à chaque fois que je vais à l’étranger, j’ai fait un tour dans un supermarché, histoire de voir ce que consomme l’homme de la rue ; mon cabas est resté vide de nourriture, mais pas de bière ! On ne se refait pas !
Voilà comment j’ai passé une agréable journée, avant de rentrer en empruntant les fameuses autoroutes allemandes sans limitation de vitesse. J’adore !
J’ai bien aimé ces derniers jours. Je crois pouvoir dire que j’en ai bien profité.
Cette semaine
Bonne nuit et à mardi sur le blog !
Voilà déjà la fin de la semaine… J’ai essayé de profiter au mieux de mon temps « libre ».
Cette semaine
Bonne fin de dimanche de Pâques !
De lundi à dimanche j’ai été bien occupée. Et j’ai pris du bon temps, aussi.
Cette semaine
Allez, profitez bien de la fin de ce dimanche et à la semaine prochaine !
Pour moi, découvrir une ville, au-delà de ses monuments emblématiques, c’est aussi découvrir ses salons de thé, ses restaurants, ses bars. Eh oui, gourmande un jour, gourmande toujours ! Et je n’ai pas dérogé à cette douce règle lors de mon escapade à Copenhague.
Le Danemark est connu pour ses bières dont la plupart ne sont pas exportées en France. Je m’en suis octroyée une par jour (ça va, c’est raisonnable) et je dois dire que ces pauses désaltérantes ont été fort agréables. La première bière que j’ai goûtée, la plus chère aussi (7 € la pinte, oui, quand même !) je l’ai commandée au Carlton, un bar-café-restaurant fort accueillant situé à Halmtorvet 14 (non loin de la gare). Ma Carls special, une Pilsner était tout simplement parfaite, ainsi que l’ambiance musicale et chaleureuse de l’endroit.
Autre endroit où faire une pause gourmande, Mormors ! Ce café à la décoration surchargée, nostalgique et chaleureuse offre un large choix de boissons, de muffins, de cookies, de scones, de sandwichs. J’y ai savouré le délicieux cappuccino parfaitement crémeux que vous voyez sur la photo. Mormors est l’endroit idéal pour faire une pause après avoir rendu visite à la Petite Sirène et avoir dit bonjour aux gardes du palais d’Amalienborg. Il est situé à Bredgade 45.
Une escapade à Copenhague n’aurait pas été complète sans avoir goûté le fameux sandwich ouvert, le smorrebrod, l’élément central du déjeûner scandinave. La base est une tranche de pain noir tartinée de beurre sur laquelle on peut ajouter, au choix, divers ingrédients tels que du hareng, du saumon, des crevettes, etc… Moi j’ai découvert le smorrebrod chez Andersen Bakery situé à Bernstoffsgade 5 (en face de la gare). Je l’ai choisi au saumon arrosé d’un jus de citron, à l’avocat et à la ciboulette. Un délice !
Copenhague regorge d’adresses gourmandes et je ne suis malheureusement pas restée assez longtemps pour en profiter à fond… Sachez que les Français s’y retrouvent largement, la variété de pains proposés est impressionnante. J’ai aussi adoré les viennoiseries (à la cannelle notamment) et les bagels.