Vive la gourmandise

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J’aime beaucoup participer aux concours organisés par les blogueuses et ce d’autant plus que le lot est gourmand ! Et de temps en temps je gagne !

Dernièrement j’ai remporté ce paquet de Shanty Biscuits sur le joli blog Merci pour le chocolat ! de Céline que je suis avec plaisir depuis quelques années.

Shanty Biscuits propose une gamme de biscuits personnalisables et faits maison. J’adore l’idée ! Parmi les 20 saveurs commercialisées j’ai choisi Cacao (on ne se refait pas !) et en toute logique j’ai opté pour le texte Vive la gourmandise. 4 jours plus tard le colis était dans ma boîte aux lettres. Je suis charmée par la réalisation soignée de ces petits gâteaux et par leur emballage tout en sobriété (sachet transparent, ruban blanc).

Je pense faire appel à Shanty Biscuits pour de futurs petits cadeaux originaux et gourmands et pourquoi pas pour la fête des mères qui approche.

Ma (toute petite) revue ciné d’avril

Une fois encore la programmation du mois écoulé ne m’a pas vraiment inspirée… Et une fois encore je n’ai qu’un seul film à mon actif pour ma revue ciné mensuelle…

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J’ai vu Apprenti gigolo de John Turturro. C’est l’histoire de 2 amis, l’un libraire, l’autre fleuriste, qui ont des problèmes d’argent. Le premier devient le mac du second, pour le bonheur de leurs clientes.

C’est un film simple, sans prétention mais j’ai passé un bon moment. J’ai aimé me plonger dans l’ambiance juive de Brooklyn et dans la bande-son faite de jazz (qui d’ordinaire m’ennuie profondément) et d’un titre de notre fée française, à savoir Vanessa Paradis. J’ai également aimé voir Woody Allen version acteur et Vanessa Paradis, belle et émouvante dans le rôle tout en délicatesse d’une veuve lassée par la solitude du corps. Le duo Allen-Turturro fonctionne bien, j’ai eu plaisir à suivre les échanges entre le mac et son apprenti prostitué un peu dépassé par ses sentiments !

Bon, soyons honnêtes, ce film n’est pas un chef d’oeuvre mais franchement je suis sortie de ma séance le sourire aux lèvres et ça c’est déjà beaucoup.

« Mon » vernis rose

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J’ai trouvé « mon » vernis par hasard ! Oui, parfois les choses sont simples. Et ça tombe bien, la simplicité c’est exactement ce dont j’ai besoin en ce moment.

« Mon » vernis avec des guillemets parce que ce joli rose s’appelle Sophie’s pink, hé hé ! Et puis « mon » vernis parce qu’il est très facile à appliquer, contrairement à ce que j’ai lu ça et là sur les blogs et qui m’avait longtemps tenue loin de la marque Models Own. Moi je le trouve parfait pour la pas-très-habile-en-application-de-vernis que je suis ! Comme quoi rien ne vaut sa propre expérience.

Le pinceau étroit me convient, la fluidité du vernis, assez liquide, aussi. Avec Sophie’s pink je n’ai pas fait de pâtés et ça c’est vraiment à souligner !  J’apprécie la tenue longue durée de ce vernis (5 jours), la brillance du rendu et bien sûr la couleur que je trouve gourmande à souhait et girly, girly, girly. De quoi mettre un peu de douceur dans ce monde de brutes.

Models Own est distribué par Monoprix et propose de bien jolies couleurs. J’ai notamment repéré Toxic Apple, un vert bien vert ! La couleur c’est la vie, non ?

La petite communiste qui ne souriait jamais de Lola Lafon

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Nadia Comaneci est un mythe, elle fait partie de notre imaginaire. Elle est cette gymnaste incroyable qui a défié la peur et les lois de l’apesanteur et dont les acrobaties ont émerveillé le monde entier.

Ce roman est une plongée dans la vie de la fillette, à la fois fée et robot communiste grâce à qui le régime a fait la promotion de la réussite totale d’un système. On découvre le quotidien de l’athlète fait de séances d’entraînement, de privations de nourriture et de voyages à l’étranger, à l’occasion de compétitions internationales qui représentent autant d’enjeux géopolitiques. Au-delà de la vie de Nadia Comaneci cette histoire est celle de peuples soumis et affamés, d’individus instrumentalisés et surveillés.

Ce roman m’a fait vibrer d’effroi. On ne peut pas rester insensible à ce que Nadia Comaneci a vécu pour devenir cette gymnaste qui a obtenu la note incroyable de 10, au mépris de la hiérarchie mondiale et des ordinateurs ! J’ai particulièrement « souffert » à l’évocation de la surveillance orchestrée par la Securitate, des entraînements douloureux, des prises de risques insensées. J’ai été horrifiée par la manière dont le corps de cette fillette a été maltraité au point de faire disparaître ses règles considérées comme une maladie, au point de concourir tout en étant blessée. La fillette n’avait pas le droit de grandir, sous peine de devenir, selon elle, un monstre. Elle devait préserver sa virginité et son enfance à tout prix, pour que vive le rêve communiste… Ce roman démontre jusqu’où la manipulation des esprits peut aller au point de faire croire à une gymnaste que l’obéissance dont elle fait preuve est un contrat passé avec elle-même.

Ce roman est une critique sévère de l’Est, bien sûr, mais ne nous y trompons pas, l’Ouest aussi en prend pour son matricule. Souvenons-nous que Ceausescu, considéré comme un résistant aux soviétiques, était l’interlocuteur des chefs d’état occidentaux. Et puis n’oublions pas que l’Occident a adoré Nadia Comaneci (qui n’était ni plus ni moins que l’héroïne du travail socialiste) avant de la traiter de traînée dans ses tabloïds, une fois qu’elle avait fui aux Etats-Unis, une fois qu’elle avait grandi. Et puis reconnaissons que l’Ouest a adopté le système d’entraînement des gymnastes communistes et a remplacé la censure politique par la censure économique…

Nadia Comaneci apparaît comme un personnage complexe et plein de contradictions, faisant passer le lecteur de ce roman de la compassion à l’incompréhension, du respect au mépris, au gré de l’évolution de la gymnaste, passée du statut d’angelot moralement inflexible à celui de fugueuse. Et puis le parallèle entre cette vie et l’histoire de la Roumanie est intéressant, révélateur de toute une époque.

Ce que dit la 4è de couverture : « Parce qu’elle est fascinée par le destin de la miraculeuse petite gymnaste roumaine de quatorze ans apparue au JO de Montréal en 1976 pour mettre à mal les guerres froides, ordinateurs et records au point d’accéder au statut de mythe planétaire, la narratrice de ce roman entreprend de raconter ce qu’elle imagine de l’expérience que vécut cette prodigieuse fillette, symbole d’une Europe révolue, venue, par la seule pureté de ses gestes, incarner aux yeux désabusés du monde le rêve d’une enfance éternelle. Mais quelle version retenir du parcours de cette petite communiste qui ne souriait jamais et qui voltigea, d’Est en Ouest, devant ses juges, sportifs, politiques ou médiatiques, entre adoration des foules et manipulations étatiques ?

Mimétique de l’audace féérique des figures jadis tracées au ciel de la compétition par une simple enfant, le roman-acrobate de Lola Lafon, plus proche de la légende d’Icare que de la mythologie des « dieux du stade », rend l’hommage d’une fiction inspirée à celle-là, qui, d’un coup de pied à la lune, a ravagé le chemin rétréci qu’on réserve aux petites filles, ces petites filles de l’été 1976 qui, grâce à elle, ont rêvé de s’élancer dans le vide, les abdos serrés et la peau nue. »

Shopping doudou

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Certaines vont chez le coiffeur quand elles n’ont pas le moral. Je ne suis pas de celles-là, je n’aime pas vraiment aller chez le coiffeur, moi…

En revanche j’adore les sacs et les foulards et bingo, c’est ce que je me suis offert après une semaine bien merdique comme il faut…

J’ai jeté mon dévolu sur un joli sac rayé de la marque Fossil. J’adore sa couleur menthe à l’eau et la possibilité de le porter à la main ou en bandoulière. Astucieux ! Je l’avais repéré sur le blog d’Estelle où il m’avait immédiatement tapé dans l’oeil.

Et puis, après tout le monde (oui, des fois je suis TRES lente), j’ai craqué pour le motif flamand rose. J’aime la légèreté de cette couleur rose et la jolie bordure pompons de ce rectangle Lafayette Collection. De quoi mettre un peu de douceur dans ce monde de brutes !

Alors non, le shopping n’est pas le remède absolu à la morosité mais ça aide quand même pas mal !

Je ne suis pas une pleureuse (dédicace à ma manager)

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Après 2 essais de débouchage d’oreille infructueux, 5 jours de traitement à coup d’anti-inflammatoires et d’antibio et 1 suspicion d’otite j’ai (enfin) eu droit à… 1 jour d’arrêt maladie. Waouh !

Je ne sais pas comment font ceux qui obtiennent des arrêts de travail à tour de bras mais une chose est sûre, ils n’ont pas un médecin roumain ! Car sachez-le mesdames et messieurs, le médecin roumain n’est pas complaisant. Il comprend la douleur, bien sûr, mais il ne se laisse pas attendrir par les poulettes de moins de 50 kg, ah ça non ! En revanche il se démène pour trouver un confrère qui, au-delà de lui, aura la solution au problème.

Alors d’aucuns diront que mon médecin m’a fait perdre 5 jours mais moi j’apprécie sa démarche qui responsabilise le malade, le maintient actif et l’éloigne de la tentation de se lamenter sur son propre sort.

Et puis ma super manager sera assurée que je suis VRAIMENT malade (peut-être par sa faute d’ailleurs…). Moi je sais que ce jour obtenu de haute lutte va m’aider à aller mieux et à me rétablir avant un long week end de 4 jours dont je compte bien profiter à fond. Non mais !

En attendant je m’en vais voir l’ORL et je prends soin de moi, moi, moi ! Et j’essaie de remplir correctement ces formulaires qui ne me sont pas familiers du tout, dieu soit loué !

Mon corps dit stop

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Depuis quelques temps j’enchaîne les pépins physiques. Oh, rien de grave, une névralgie cervicale par ci, une otite et un retard (conséquent) de règles par là…  Même pas de quoi obtenir un arrêt de travail…! (satané médecin roumain).

En fait j’ai atteint mon seuil de tolérance au stress et à la surcharge de travail. Et mon corps me l’a fait payer, bien avant que je n’admette avoir une défaillance, une faiblesse. Foutu orgueil…! Oui, je craque. J’ai mal et je pleure pour un oui ou pour un non…

Jusqu’ici j’avais accepté d’être débordée, de faire le boulot de 2 personnes sans savoir combien de temps ce cirque allait durer. Mais ça c’était avant. Avant que les douleurs se manifestent et révèlent un mal-être, une fatigue physique et morale aussi.

Je ne peux pas envisager que mon travail nuise à ma santé et je l’ai dit à ma manager qui… s’en fiche… Super… Elle nous demande d’être bienveillants et se moque de mes problèmes de santé ? Elle me dit de me ménager mais me n’apporte aucune solution concrète et au contraire me reproche de ne pas avoir fait certaines choses ? OK, j’en prends note et je vais adapter mes efforts à ce manque d’empathie à mon égard. Non mais !

Je ne sais pas comment gérer mon manque d’envie d’aller au bureau mais en revanche j’ai bien compris que ma hiérarchie ne m’aidera pas à aller mieux en allégeant ma charge de travail avant au moins un mois. J’ai clairement émis ma crainte de ne pas tenir à ce rythme un mois supplémentaire mais je pense ne pas avoir été entendue… Au delà de la douleur physique je souffre de constater que la hiérarchie n’est pas du tout à l’écoute de mon malaise et je me sens presque niée…

Heureusement que j’ai des collègues qui me soutiennent et qui m’assurent de leur amitié. C’est grâce à eux que je trouve la force de continuer mon travail et que j’arrive à relativiser. Merci à eux et merde au management…

J’ai fait des cupcakes avec un pro

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Je ne suis pas un cordon bleu, loin de là. Mais j’aime préparer des desserts, pour le plaisir du partage et aussi parce que je suis très gourmande ! Je trouve que la pâtisserie est ludique et concocter des délices sucrés me rappelle de doux moments passés dans la cuisine avec ma maman, il y a bien longtemps. Que de jolis souvenirs…

Alors oui, la pâtisserie c’est ludique certes, mais c’est aussi un métier. Et quoi de plus épatant que de participer à un cours proposé par un professionnel, Thierry Mulhaupt en l’occurrence ? Pour ma première fois j’ai choisi l’atelier « Les cupcakes comme chez François Payard » et j’ai adoré cette expérience.

Les cours se déroulent dans le labo de la pâtisserie, en présence du maître des lieux, de Laurent, son chef de production et de Valentin, un apprenti BTM. L’accueil se fait avec la distribution par Monsieur Mulhaupt himself d’un tablier et d’un dossier contenant notamment 2 recettes.

Et puis le cours est lancé. Et là, les « stagiaires » sont en admiration devant la dextérité, la maîtrise et la simplicité de ce grand professionnel qui sait se mettre au niveau de la pâtissière en herbe lambda et qui répond à toutes ses interrogations. Le pâtissier a réalisé les préparations (pâtes, ganache, crèmes au beurre) tout en expliquant ses gestes, en décrivant les ingrédients et les outils utilisés (j’ai adoré le nom de certains ustensiles comme un cul-de-poule ou une maryse). Une fois les pâtes prêtes c’est aux inscrites d’en garnir des caissettes à cupcakes, à la poche à douille. C’était la première fois que j’utilisais cet outil et je me suis fait repérer direct…!

Puis est venu le moment de la mise au four et… du goûter ! Oui, une pause gourmande est prévue lors des cours et ce jour-là on a eu la chance de déguster de délicieux mini financiers aux framboises accompagnés d’un thé au jasmin. Miam !

Après cet intermède gourmand c’était à nouveau à nous de jouer pour la décoration de nos réalisations. Et là c’était le bonheur. On a pû profiter d’une large palette de décors et laisser libre cours à notre imagination et à notre créativité. J’ai opté pour des cupcakes plutôt sobres, chacun décoré assez simplement mais avec classe. Comment ça j’me la pète ?!

Voilà comment j’ai passé 3 heures avec un grand pâtissier, 3 heures qui ont filé à toute allure et qui m’ont donné envie de m’inscrire à un autre atelier car vraiment Thierry Mulhaupt sait y faire pour partager sa passion pour le chocolat, les gâteaux et la pâtisserie en général. J’ai beaucoup apprécié sa disponibilité et sa simplicité qui sont à mon sens la marque des grands. Je suis admirative devant tant de talent et de modestie.

Maintenant il ne me reste plus qu’à m’acheter une poche à douille et à appliquer les conseils du pro dans ma toute petite cuisine !

Douche hippie

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Décidément, j’aime beaucoup les produits de la marque Kneipp ! Après le shampooing aux fleurs d’amandier voici le gel douche aux couleurs 70’s dont je me sers quotidiennement depuis quelques temps.

J’avoue avoir d’abord craqué pour l’évocation de l’époque bénie des hippies mais il s’avère que ce gel douche est bien plus qu’un simple produit marketing pour nostalgiques des années Flower Power !

Le chanvre est connu pour ses propriétés relaxantes et le patchouli pour ses vertus apaisantes. Grâce à ces ingrédients ce gel douche procure une sensation de bien-être très agréable le matin, quand le réveil est un peu difficile. Et puis il laisse la peau délicatement parfumée et toute douce grâce à sa formule sans savon et pleine d’huiles essentielles.

Allez les filles, give this body wash a chance!

2 défaites pour la France…

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Vendredi j’ai assisté aux 2 premiers matchs du 1/4 de finale France – Allemagne de Coupe Davis.

Après 2 heures de route je suis arrivée au palais des sports Jean Weille de Nancy, théâtre de cette confrontation qui donnerait accès à la 1/2 finale au pays vainqueur. J’étais comme une enfant, enthousiaste et impatiente de voir nos tennismen offrir un beau spectacle de sport dans une ambiance chaude et partisane.

Une fois installée à ma place j’ai suivi l’échauffement des joueurs allemands : Tobias Kamke (96è mondial) qui allait être opposé à Julien Benneteau (50è mondial) et Peter Gojowczyk (119è mondial) qui aurait la tâche de combattre Jo-Wilfried Tsonga (12è mondial).

Après les hymnes et la présentation des joueurs le show pouvait démarrer. Et moi je trépignais sur mon siège, un drapeau bleu blanc rouge à la main ! Allez Julien ! Sauf que Benneteau a rapidement été débordé par son adversaire… Le Français a singulièrement manqué de combativité, avait souvent les épaules basses mais surtout, surtout il n’a pas eu le bon coaching ! Pourquoi Arnaud Clément ne lui a pas dit d’éviter le coup droit de son adversaire ? Le match a coupé court et s’est terminé sur la victoire de Kamke sur le score de 7-6 6-3 6-2… Mauvais départ pour la France…

Puis est arrivé mon chouchou en qui tous les espoirs étaient forcément placés après la défaite de Benneteau et surtout au vu du classement de son adversaire… Et là encore, déception… Oui, chouchou, celui-là même qui a inspiré ma propre reprise du tennis l’année dernière, celui-là même qui était arrivé en 1/2 finale de Roland Garros en 2013 et qui avait son portrait géant au magasin Adidas des Champs Elysées m’a déçue, nous a tous déçus… Il n’a pas mal joué, certes, mais il a raté les points importants. Et puis son adversaire a particulièrement bien défendu ses chances de débutant en Coupe Davis. L’Allemand au nom imprononçable a gêné Jo avec son service efficace et il a fait preuve de ténacité jusqu’au bout, même quand il a été pris de crampes. Au bout de plus de 4 heures de jeu Jo s’est incliné sur le score de 5-7 7-6 3-6 7-6 8-6. Deuxième match et deuxième défaite de la journée…

Moralité de cette première journée : ne jamais sous-estimer son adversaire !

Malgré la lourde défaite des Français j’ai passé une bonne journée. J’ai aimé l’esprit d’équipe et la pugnacité dont on fait preuve les Allemands, j’ai admiré les services ultra rapides et puissants de Gojowczyk et Tsonga, ainsi que tous les autres coups que les 4 protagonistes exécutent presque à la perfection. Et puis j’ai vibré aux moments décisifs, j’ai manifesté ma déception et mon chauvinisme aussi. J’ai tout simplement apprécié d’être là, de vivre ce moment de tennis en live et… de mater les petites fesses musclées de Jo aussi !